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Taous, promo 2024 : « A l’ESILV, l’entraide est une valeur essentielle »

Pour réussir en école d’ingénieurs, une méthode qui fait ses preuves à l’ESILV : s’entraider les uns les autres pour évoluer ensemble. Témoignage de Taous, promo 2024.

Ce n’est pas un esprit de compétition, ici tout le monde a sa place, tout le monde s’entraide. J’étais dans un lycée privé et c’était vraiment l’esprit de compétition alors qu’ici il n’ y en a pas. Tout le monde réussit, tous ensemble et je trouve cela génial.

Finance, JPO, Concours Avenir : bien s’orienter pour intégrer l’ESILV

Premièrement, j’ai choisi l’ESILV parce qu’elle propose la majeure Finance, qui n’est pas proposée dans toutes les écoles. Elle m’a attirée énormément. Ensuite, c’est le cadre de la Défense, et il y a plein de choses autour, c’est hyper attractif. Enfin, il y a la vie associative : il y a plein d’associations et je trouve que c’est hyper important quand on est étudiant de pouvoir faire autre chose que les cours.

C’était lors d’une Journée Portes Puvertes que j’ai découvert le Pôle Léonard de Vinci pour la première fois ; au début j’étais très intimidée parce que je ne m’y attendais pas. Après l’avoir visité, c’était vraiment différent : j’ai trouvé l’espace moderne, avec des petits recoins partout… C’était vraiment une bonne expérience.

J’ai passé le concours Avenir, avec des épreuves écrites en mathématiques, physique, français et anglais. On est tous réunis au centre d’examen, et on passe les écrits au fil de la journée avec les autres élèves. Je trouve que le Concours Avenir permet à tous d’avoir de bonnes chances de réussite.  Pour m’y préparer, j’ai récupéré les sujets sur internet, qui étaient postés sur différents sites. Je les reprenais, je les faisais une fois (cela peut paraître dur la première fois, parce que cela ne ressemble pas trop au lycée) ; en les refaisant, on assimile les questions. Pour la plupart, elles se ressemblent, donc cela peut être facile si  on s’y est préparé plusieurs fois.

Les premières années en école d’ingénieurs, question d’organisation

Ma première année ? Au début, ça change un peu du lycée : nous sommes un peu plus libres, nous devons nous organiser tout seuls, nous adapter : moins de cours, beaucoup plus de temps libre.  J’ai dû apprendre à m’organiser, pouvoir répartir mon temps et employer le temps libre à ma disposition pour d’un côté m’organiser et être à jour sur mes cours, et aussi profiter de ma vie d’étudiant.

C’est une année qui s’est plutôt bien passée pour moi : j’étais dans plusieurs associations et cela m’a permis de m’intégrer très facilement au Pôle Léonard de Vinci. Les TD nous permettent d’être très soudés : nous sommes tout le temps ensemble au quotidien.

La clé pour réussir sa première année, c’est vraiment l’organisation. Pendant mes premières semaines en école d’ingénieurs, je me sentais submergée. Il faut vraiment s’organiser, se créer un groupe d’amis prêts à travailler ensemble. Chacun s’aide : chacun a ses points forts, en mathématiques, en physique, et c’est grâce aux capacités de chacun que l’on réussit de la meilleure des façons.

Mes premières années, en termes de cours m’ont permis de découvrir les matières dans lesquelles j’avais un a attrait, que je ne connaissais pas du tout, comme les soft skills. J’ai notamment réalisé un projet, un petit char en première année, j’ai réellement appris, et j’ y ai pris goût.

Ce sont des matières qu’on n’explore pas au lycée et qui sont vraiment super intéressantes à découvrir en école d’ingénieurs. La troisième année est beaucoup plus légère que les première et la deuxième années. Une fois sortis de la prépa intégrée, il nous reste plus de temps pour nous.

Si on s’organise, on peut vraiment s’investir dans plein de projets différents : personnels, associatifs.. Pour la suite, je vais choisir ma majeure. J’hésite encore entre la finance et l’actuariat : j’aime beaucoup les mathématiques, et puis, il y a très peu d’informatique, surtout en actuariat. Le domaine de la finance, de l’actuariat, c’est un domaine de challenges et j’adore me challenger au quotidien.

Les assos, la transversalité, les stages,  l’international …

Je suis dans différentes associations, dans des domaines assez différents . Pour les sports, j’ai choisi Amma : c’est une superbe asso ; elle regroupe les arts martiaux, la boxe, le MMA. Elle permet vraiment un esprit famille très soudée. Je fais également partie d’une association d’automobiles, littéralement une expérience différente : c’est un domaine que je ne connaissais pas du tout et j’y ai pris goût.

En tant que membre de Devinci Partners, je peux développer mes compétences financières, pour démarcher les entreprises. Je recommande énormément aux étudiants d’intégrer les associations : cela change vraiment ses études supérieures.

Nous avons la possibilité de réaliser différentes activités avec les autres écoles. Tout d’abord, il y a le sport obligatoire à l’ESILV et c’est vraiment une chance ; cela nous permet de maintenir une activité sportive. Les étudiants des trois écoles sont mélangés lors des activités sportives.

Il y a aussi les semaines transverses : des semaines de soft skills. Elles peuvent être des semaines hackathon, où nous réalisons un projet de A à Z sur différentes thématiques proposées par l’école.

Un autre type de semaines transverses, de Soft Skills encore une fois, nous permettent de développer des connaissances complémentaires aux cours : mathématiques, physique, projets…

Je suis en 3e année et l’année dernière, j’ai réalisé un stage de découverte d’entreprise, qui n’a pas forcément de lien avec notre futur projet d’avenir. Ce n’était pas mon premier choix, mais à cause de la crise sanitaire, il m’a été proposé par l’école et je l’ai accepté parce que cela me permettait d’apprendre des compétences supplémentaires, notamment en termes de softs skills. C’était un stage en ressources humaines et relations clients : j’y ai pu déployer ce sens du contact que j’aime beaucoup, ce qui m’a fait apprécier mon stage.

Pour ce qui est départ à l’international, nous avons le choix de partir en troisième année, voire en quatrième et en cinquième année. J’ai fait le choix de ne pas partir cette année : tout d’abord à cause des restrictions imposées par la pandémie.

J’aimerais partir dans les pays scandinaves comme la Finlande ou encore la Suède… Je souhaite partir en 5e année. Nous avons un semestre obligatoire à l’étranger, à réaliser sous forme de stage en entreprises ou dans une école partenaire : en immersion, nous suivons les cours dans l’établissement partenaire avec les autres étudiants.

Crédit photo : Vinci Eco Drive

Categories: Admissions
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