Avec plus de 100 partenariats à l’international, l’ESILV conforte les ambitions des futurs ingénieurs à vocation de globe-trotter. Encourager la mobilité internationale des étudiants, cela passe aussi par l’organisation des événements pour orienter au mieux les élèves-ingénieurs dans leurs recherches de stages et formations hors des frontières de l’Hexagone. Pour ce faire, quel meilleur outil que les rencontres programmées au sein du campus avec les universités partenaires ?
Le chemin pour valider le diplôme d’ingénieur ESILV passe par un semestre d’échange international en 3e ou en 5e année. C’est dans cette logique que se tenait la Study Abroad Fair, le jeudi 14 novembre : accompagner les étudiants en 2e et 4e années tout au long de leur projet de mobilité.
Près de 30 universités sur les 100 établissements partenaires qui proposent aux étudiants de l’ESILV des stages et des formations aux quatre coins du monde ont fait le déplacement pour présenter leurs formations (bachelor, masters, MBA…) et les particularités de chaque région.
Des partenariats de pointe aux quatre coins du monde
Parmi les destinations phares, des universités classées internationalement, telles que University of Technology Sidney (première université australienne sous 50 ans (Times Higher Education Young University Rankings 2019, QS Top 50 Under 50 2020), Universidad de Montevideo, classée 21eme meilleure université de l’Amérique Latine (QS World University Rangings 2020), ou encore des destinations moins connues, mais à la pointe des sciences de l’ingénieur, situées en Europe de l’Est.
Fondée en 1959 au cœur de la Transylvanie, la région la plus tendance de Roumanie – qui a su conserver son âme francophone – l’Université Babes-Bolyai de Cluj-Napoca est la plus grande et plus ancienne université roumaine. Avec ses 21 facultés, près de 35 000 étudiants, l’établissement baptisé UBB jouit également d’une notoriété à l’international, notamment dans des domaines-clés comme les Mathématiques (située entre les rangs 301-400 dans le Classement de Sghanghai – Academic Ranking of World Universities), Ingénierie/technologies et sciences de la vie (les deux domaines ont été classés entre les rangs 501-600 du classement The World University Rankings).
Dans le même esprit, des sciences de l’ingénieur et pour rester dans le paysage balkanique, une autre destination qui mérite le détour est l’Université Tomas Bata de Zlin, République Tchèque, située à 300 kilomètres à l’est de Prague et 200 kilomètres de Vienne.
L’université a été classée parmi les 3% des meilleures universités de l’Europe Centrale et de l’Est, dans le Classement mondial des universités QS (en 91e position dans le classement QS de 2017) et jouit d’une notoriété internationale dans la recherche spécialisée dans le génie des polymères, la chimie et l’automatisation. La faculté d’Economie, Management et celle d’Informatique sont classées parmi les meilleures spécialisations au niveau du pays. L’université compte environ 9500 étudiants, dont 1200 en échange international ou en double-diplôme.
Si la diversité et l’hybridation des compétences font partie des aspects-clés du métier d’ingénieur 2030, conformément à une étude publiée par la Commission des Titres d’Ingénieur, la dimension internationale est essentielle à plus d’un titre: l’ingénieur de l’avenir devra maîtriser plusieurs langues et être capable de travailler dans des équipes multiculturelles.
A l’ESILV, les futurs ingénieurs sont confrontés aux expériences internationales à travers des semestres académiques d’échange et des doubles diplômes, qui leur sont ouverts en 4e ou 5e années.
La semaine internationale de l’ESILV accueille et accompagne chaque année plusieurs « visiting professors » des universités partenaires, autour d’échanges de pratiques, de témoignages et de pistes de réflexion sur les dernières tendances en école d’ingénieur.
Pour en savoir plus sur le réseau d’universités partenaires de l’ESILV.