Alexandre Levret a fait le choix de l’Italie pour son semestre d’études à l’étranger. En deuxième année de cycle ingénieur majeure Informatique, Big data et Objets connectés, il a vécu quelques mois au rythme du campus cosmopolite de Politecnico di Torino.
L’école polytechnique de Turin compte parmi les universités partenaires de l’ESILV. Fondée en 1906, elle compte parmi les établissements les plus reconnus dans le domaine de l’informatique et des technologies de l’information.
Les atouts de l’ESILV, école d’ingénieurs généraliste
J’ai choisi l’ESILV pour mon cursus universitaire car cette école correspondait le mieux à mes attentes : une école d’ingénieur généraliste tout en étant axée sur les technologies du numérique. La qualité des cours qui y sont enseignés ainsi que la montée en classement de l’école m’ont séduits. L’apprentissage des soft skills, très apprécié des recruteurs en entretien, a aussi compté.
La dimension associative présente au pôle est également un atout, cela nous permet d’avoir des activités à côté des cours.
Pour ma part, j’ai fait partie du bureau 2015/2016 de l’association Léovoile avec laquelle nous avons le projet, chaque année, de participer à la Course Croisière EDHEC, l’événement sportif étudiant le plus important d’Europe.
Destination : Italie
Ayant vécu dans différents pays, j’ai toujours eu l’envie de voyager, c’est pourquoi j’ai voulu effectuer un semestre académique à l’étranger. J’ai choisi l’Italie, afin de découvrir une autre culture, apprendre une nouvelle langue et me servir de mes connaissances en anglais afin de pouvoir suivre des cours anglophones.
J’ai passé un semestre à l’école polytechnique de Turin en Italie, ou Politecnico di Torino, dans le cadre de mon M1 en Computer Engineering.
Le choix de cette école s’est fait naturellement car les cours proposés ici me correspondaient et j’avais eu un bon retour de la part d’un camarade qui y avait été l’an passé, en troisième année. Le prestige de l’école est également un argument convaincant, c’est l’une des meilleures écoles d’ingénieurs d’Europe.
J’ai suivi des cours de Database management systems, Computer architecture ou encore Computer system security. J’ai de plus choisi d’apprendre l’italien afin de valider l’équivalent d’un niveau A2 à la fin de mon échange.
La vie à Politecnico di Torino
J’ai rencontré beaucoup d’étudiants venant des quatre coins du monde : Chiliens, Indiens, Espagnols, Allemands, Tunisiens, Chinois, Canadiens… la liste est encore longue ! Nous avons reçu un très bon accueil avec en premier lieu une visite des locaux car Politecnico est gigantesque. L’école possède quatre campus répartis sur la ville de Turin. L’un d’entre eux est un château, Castello del Valentino !
Ensuite, les soirées étudiantes se sont enchaînées, l’occasion de rencontrer les étudiants italiens ou d’autres venus en échange.
Mes journées étaient assez différentes selon les jours. La plupart du temps, je commençais à 8h30 et j’avais entre trois et six heures de cours le matin et trois heures l’après-midi. En général, je rentrais chez moi le midi pour déjeuner car je vivais près du campus.
Il m’arrivait dans la semaine d’avoir sept heures de cours l’après-midi sans avoir de pause, ce qui était très fatigant. J’avais 4h30 d’italien par semaine, ce qui est beaucoup mais nécessaire pour l’apprentissage d’une nouvelle langue.
Avec mon colocataire et des amis nous sommes allés passer un week-end de trois jours début décembre à Rome. Voir les Alpes italiennes depuis son balcon est bien trop tentant, alors nous sommes allés skier là-bas le temps d’un weekend au mois de janvier.
Repartir à l’étranger ?
Si l’opportunité se présente ce serait avec plaisir. Voyager est incroyable, non seulement pour la mise en pratique de nos niveaux de langues, mais aussi pour la richesse que cela nous apporte de découvrir de nouveaux lieux et d’échanger avec des personnes incroyables.
Il ne faut pas avoir peur de l’inconnu ! Soyez curieux et vous ne le regretterez pas je vous assure.
Intéressé par Erasmus ? Plus d’informations sur les échanges internationaux proposés à l’ESILV, école d’ingénieurs généraliste à Paris.