Nasreddine Grihma, promo 2023, a découvert les blockchains dans un premier temps il y a quelques années avec les cryptos. Il a trouvé un parcours parfait pour lui à l’ESILV. Témoignage.
C’est en regardant les majeures que propose l’ESILV, que Nasreddine a pu voir qu’il y a un parcours Fintech.
J’ai vu que l’ESILV proposait des différentes majeures dont justement la majeure Fintech qui m’intéressait particulièrement.
La majeure Fintech axée autour de la blockchain, mais pas que
Nasreddine est actuellement en dernière année à l’ESILV, où il étudie en cinquième année en majeure Fintech et travaille également en alternance chez IBM en Blockchain.
Avec des cours dispensés à 100% en anglais, la majeure Fintech à l’ESILV a pour but de former les futurs ingénieurs à toutes les technologies innovantes, indispensables pour évoluer et innover dans les entreprises qui réinventent les métiers de la finance.
Grace au site internet, Nasreddine a pu découvrir les différentes majeures proposées par l’ESILV, notamment la majeure Fintech qui l’intéressait particulièrement.
Une formation complète sur la blockchain et le bitcoin
Dans le cadre de la majeure Fintech, Nasreddine suit des cours de programmation blockchain et de solidity, ainsi que des cours sur l’histoire de la monnaie et des crypto-monnaies. Il apprend aussi les bases du développement web, des applications mobiles, du cloud, de la virtualisation et de l’IA, ainsi que d’autres technologies informatiques liées à la blockchain.
Comme tous les étudiants de l’ESILV, il est tenu de faire trois stages au cours de son cursus. Il a effectué un stage de découverte d’entreprise en deuxième année, suivi d’un stage de cinq mois en quatrième année, et il effectuera un stage de six mois en dernière année.
Dans une situation comme la mienne, si on n’est pas dans un cursus initial on peut également choisir de faire une alternance dès la troisième année où la quatrième année pour une durée de 2-3 ans dans une entreprise qui travaille justement sur la technologie et la majeure qu’on a choisi.
Partir à l’international, c’est obligatoire. Que ce soit en cursus initial, c’est-à-dire pour les personnes qui n’ont pas d’alternance et qui vont faire des stages, il y à deux possibilités : la possibilité de faire un stage à l’étranger ou sinon un semestre à l’étranger dans une université partenaire. Il y en a plein que l’ESILV va proposer.
Depuis peu d’années maintenant, les alternances sont également obligées de faire un semestre à l’étranger et pour cela deux choix sont possibles : s’expatrier dans le sein du groupe en question, s’il a des locaux et d’autres filiales à l’international.
Si l’entreprise n’a pas de filales à l’international, l’ESILV propose de faire un échange dans université partenaire et dans ce cas-là, notre contrat d’apprentissage sera mis en pause pour la durée de ce semestre.
La majeure Fintech : la richesse de l’écosystème blockchain
Au cours de ses cinq années à l’ESILV, Nasreddine a fait de belles rencontres, tant avec ses camarades qu’avec le corps professoral.
En majeure Fintech, j’ai la chance d’avoir des professeurs très intéressants qui sont même actifs dans l’écosystème blockchain, ce qui me permet d’avoir des discussions approfondies sur ce sujet.
Il considère ses années à l’ESILV comme très enrichissantes et ne regrette pas son choix et se dit « très satisfait ».