En prépa classique, Matéo Touron trouvait l’esprit un peu trop compétitif. Il cherchait une expérience plus coopérative et a trouvé à l’ESILV exactement ce qu’il voulait.
Je suis à l’ESILV depuis 2019. Actuellement, je suis en quatrième année dans la majeure industrie et robotique et j’ai choisi l’ESILV, car elle propose la possibilité d’interagir avec plus de 50 associations. C’est vraiment le rêve de tout étudiant !
Pour moi, la formation académique est très importante, mais pas uniquement. C’est aussi le sport et l’emplacement du campus, situé stratégiquement au cœur de la Défense pour tout ce qui concerne la vie professionnelle.
La majeure industrie et robotique a fait toute la différence
La majeure industrie et robotique, c’est une nouvelle majeure, assez complète, c’est la raison pour laquelle je l’ai choisie.
Cette majeure propose aussi bien de l’intelligence artificielle avec du machine learning, que des sujets plus simples comme de la réalité virtuelle et la réalité augmentée. Au stade où nous sommes en tant qu’élèves, nous sommes beaucoup plus autonomes, cela fera quatre ans que nous sommes dans l’école.
Nous commençons à être bien rodés. C’est très intéressant finalement et sympa de voir que nous sommes assez libres.
Nous avons bien sûr des dates limites pour la livraison des projets, mais nous avançons comme on le sent : que ce soit en créant des circuits électroniques, en développant des logiciels, des algorithmes d’intelligence artificielle ou autres.
Faire rimer pédagogie et majeure
Concernant la pédagogie de cette majeure, elle est assez similaire à tout ce qu’on a vu depuis le début à l’ESILV. C’est-à-dire, on a des cours magistraux en ligne ou en présentiel et des travaux dirigés qui sont des exercices avec un professeur qui est à l’écoute pour nous aider.
Par rapport aux stages à l’ESILV, dans mon cas, j’ai eu la possibilité, et même l’obligation, de faire un stage en deuxième année.
J’ai eu l’opportunité de travailler chez Engie IT. C’était une expérience qui m’a vraiment ouvert un peu plus sur le travail d’ingénieur. Je pense que c’est réellement « la » pratique qui m’a fait le plus découvrir, finalement, ce qu’est le monde du travail.
C’est une très bonne initiative de la part de l’ESILV de proposer des stages de ce genre.
La formation dans mon stage m’a apporté la possibilité de bien utiliser mes compétences hard-skills, c’est-à-dire les mathématiques, la physique et toutes les compétences techniques. Mais aussi, je me suis rendu compte de l’importance des soft-skills. Des compétences proposées à l’ESILV, grâce auxquelles je me suis plus démarqué vis-à-vis des autres collègues lors de mon stage en entreprise.
Pour résumer, ce qui m’a le plus marqué dans cette formation, c’est l’ambiance étudiante. Pour moi, ça reste le meilleur choix que j’ai fait dans mon cursus scolaire.
Il y a aussi bien de l’apprentissage avec les études, qu’une vie associative et des projets qui permettent de donner du sens à ce qu’on apprend.
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