« DG sur écoute », la série d’interviews de Thotis qui s’intéresse aux directrices et directeurs de Grandes Écoles, a interviewé Pascal Pinot, directeur de l’ESILV. Pendant l’émission, il a exploré les défis et les opportunités auxquels sont confrontées les écoles d’ingénieurs françaises aujourd’hui.
De plus, lors de cette discussion approfondie, Pascal Pinot a abordé les différents aspects de l’engagement de l’ESILV envers l’excellence académique, l’insertion professionnelle, la diversité ainsi que l’avenir de l’enseignement supérieur en général.
L’ESILV face aux réformes de l’enseignement supérieur
Tout d’abord, il a été question de la manière dont l’ESILV s’adapte aux réformes de l’enseignement supérieur. En effet, l’école ajuste ses programmes et en ouvre de nouvelles formations pour répondre aux besoins du marché et des étudiants.
L’accent a été mis sur l’excellence académique, l’engagement envers le développement durable, le développement de l’école et l’internationalisation.
L’attractivité de l’ESILV
Concernant l’attractivité de l’ESILV, plusieurs points ont été mis en avant. Notamment, le positionnement de l’école dans les classements grâce à son excellence académique, son ouverture à l’international et son fort lien avec les entreprises pour favoriser l’insertion professionnelle des étudiants.
De plus, des actualités récentes ont été partagées : l’ouverture de nouveaux parcours et programmes de Master of Science dans des domaines comme l’aérospatiale, la cybersécurité et la data science.
Les réponses de l’ESILV face à défis du secteur
La discussion a également abordé la question de la baisse du vivier en mathématiques et l’attractivité des spécialités scientifiques.
Pascal Pinot a indiqué que l’ESILV ne semble pas encore être directement touchée par ce phénomène, mais reste attentive et cherche à s’adapter. Pour ce faire l’école propose de nouvelles formations et en ajuste ses programmes.
De même, la féminisation en école d’ingénieurs a été évoquée comme un enjeu national ; L’ESILV vise à atteindre une plus grande diversité en encourageant davantage de jeunes femmes à considérer une carrière dans l’ingénierie.
L’avenir des écoles d’ingénieurs françaises
Enfin, la conversation s’est tournée vers l’avenir des écoles d’ingénieurs françaises dans les 10 prochaines années.
Malgré les défis à relever, comme l’adaptation aux évolutions technologiques et la nécessité d’attirer plus de candidats, Pascal Pinot reste optimiste quant à la croissance et à l’adaptabilité des écoles d’ingénieurs françaises.
Il a souligné l’importance des mathématiques comme fondement essentiel pour former des ingénieurs capables de comprendre et de s’adapter à un monde en constante évolution.
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